Votre gâteau au chocolat.

Pour ce faire, vous avez besoin d’une tablette de chocolat noir, de 125g de beurre, de 125g de sucre, trois œufs, trois cuillerées à soupe de farine, une pincée de levure chimique, une pincée de sel. Avant toute chose, préchauffez le four à 180°. Faites fondre le chocolat en morceaux au bain-marie ou au micro-ondes. Séparez les blancs et les jaunes d’œuf. Avec une pincée de sel, battez les blancs en neige, mélangez avec le sucre et les jaunes d’œuf. Remuez le tout jusqu’à ce que le mélange devienne légèrement mousseux. Coupez le beurre en petit morceaux et faites-les fondre. Battez au fouet ce beurre liquide avec le trio blanc – sucre – jaune d’œuf. Tamisez la farine et mettez-y une pincée de levure chimique. Ensuite, incorporez petit à petit pour avoir une pâte homogène. Beurrer un moule et y verser la pâte après un temps de pause de cinq minutes. Enfournez pendant vingt minutes et surveillez régulièrement. Démoulez puis décorez à votre guise.

Comment garder le gâteau au frais?

Parfois vous n’arrivez pas à tout manger d’un seul coup. Il reste encore des parts. Pour les conserver bien frais, il suffit de les mettre sous cloche et d’y glisser deux ou trois rondelles de pommes. Veillez à ce que le gâteau n’est pas en contact direct avec les pommes pour que leurs goûts ne se confondent pas.

Double douceur en accompagnement

N’est-il pas toujours meilleur de déguster son gâteau avec une douce boisson. Avez-vous du mal à choisir entre un milkshake et une tasse de café ? Alors voici un deux en un: le milkshake au café. D’abord, préparez deux boules de crème glacée au chocolat : mixez-les avec 15cl de lait entier bien froid et quatre cuillerées à soupe de café très fort pour obtenir une préparation onctueuse. Ne laissez aucune formation de givre se produire. Ensuite, versez le milkshake au café dans un grand verre. Garnissez le tout avec de la crème fouettée. Parsemez le milkshake au café avec du chocolat râpé. Décorez avec de la crème chantilly. Enfin, dégustez bien frais avec votre part de gâteau.

Les plats qui se marient avec les topinambours

Les recettes qui se cuisinent avec les topinambours sont nombreuses. On va découvrir deux recettes à essayer.

Le velouté de topinambour

Vous aurez besoin :
d’une tablette de bouillon de volailles dégraissé,
du gorgonzola,
d’une crème liquide,
d’une noix de muscade,
de l’huile d’olive,
du miel, de sel, des amandes, du poivre
et des topinambours.
Préparez les topinambours (pelez, rincez et coupez). Mettez-les dans une casserole avec de l’huile déjà chaude. Rajoutez du miel et laissez caraméliser à feu doux. Versez de l’eau. Une fois en ébullition, versez la crème liquide et laissez cuire à feu doux pendant 30 minutes. N’oubliez pas de remuer pour avoir une mixture veloutée. Assaisonnez avec le sel et le poivre. Mettez le contenu dans un bol et ajoutez le reste des ingrédients (gorgonzola, amandes et noix de muscade). Il ne reste plus qu’à le déguster chaud.

La poêlée de topinambour au romarin

Les principaux ingrédients sont les topinambours, les romarins, l’huile d’olive, les oignons, le sel et le poivre. Épluchez les oignons, puis laissez frire avec l’huile d’olive. Prenez les topinambours déjà pelés et découpés. Mélangez-les avec les oignons et ajoutez du sel et du poivre. Laissez-les cuire pendant 20 minutes. Une fois bien cuit, enlevez le couvercle. Augmentez le feu pour griller un peu les topinambours. Il vous reste à saupoudrer de romarin, ensuite vous pouvez passer à table.

Le Havana Cola

Le Havana Cola est un mélange parfait de Rhum et de cola. Il s’agit d’un cocktail originaire de Cuba. Rien que la dénomination de ce cocktail rappelle le côté sauvage et voluptueux de cette île. On se rappelle des danses et de la musique cubaine. Pour réussir un havana cola, il faut garder un équilibre parfait entre les ingrédients. Ainsi, pour réaliser un Havana Cola, il faut 14 gouttes de rhum et de 6 gouttes de cola. Par la suite, on peut ajouter du glaçon surtout pour ceux qui ne supportent pas le gout trop corsé. Ce cocktail, vous pouvez le servir lors d’un anniversaire, d’une soirée entre copines, etc.

La téquila Sunrise

La vivacité de la couleur du lever du soleil a valu le nom de ce cocktail. Le cocktail se prépare directement dans le verre. Pour commencer, il faut verser la téquila sur des glaçons. Par la suite, on ajoute le jus d’orange et on remue le tout. Ensuite, on verse délicatement le sirop de grenadine afin qu’il tombe au fond. Au final, on donne un petit coup de cuillère pour donner le ton dégradé.

La gestion des restaurants collectifs à vocation sociale

A titre informatif, il y a un peu plus de 25 ans en France, plus de 11 millions de repas sont servis par jour au niveau des restaurants collectifs existants, aujourd’hui c’est à vous de voir. Des entreprises privées sont engagés par délégation de service public à préparer les repas, sinon les institutions elles-mêmes prennent en charge les services y afférents. Ces entités sont responsables vis-à-vis des risques de toxi-infection alimentaire collective (TIAC). En effet, il s’agit de prendre connaissance des classifications de ces restaurants collectifs, entre autres les établissements qui assurent la restauration classique et thématique, la restauration collective en entreprise, en milieu scolaire, en maison de santé ou en maison carcérale, puis la restauration rapide qui fait couler encore d’encre pour les commentaires.

L’aspect législatif des restaurants collectifs

La sécurité alimentaire et la traçabilité des produits et intrants font partie des points essentiels exigés aux restaurants collectifs. Ces derniers doivent respecter et se référer aux corpus existants sur le plan international, européen et national, voire régional pour certains pays. Un agrément sanitaire est désormais exigé pour qu’un restaurant collectif soit officiellement en règle. Il s’agit à cet effet de mettre en exergue continuellement la traçabilité des produits, le développement de la responsabilité du chef cuisinier et son patron, le suivi des moyens mis en œuvre et les résultats qui en découlent, puis la certification de la conformité des produits ( CCP), sinon il faut se référer aux bonnes pratiques d’hygiène (BPH) ou aux bonnes pratiques de fabrication (BPF).

Les restaurants disponibles et aux choix des voyageurs

Effectivement, plusieurs sont les restaurants qui peuvent donner satisfaction quelle que soit la capacité budgétaire des voyageurs, quelle que soit leur orientation distractive en milieu civilisé urbain ou en milieu rural traditionnel. A cet effet, il existe les restaurants appelés « Ferme-auberge » ou auberge à la ferme permettant les voyageurs d’apprécier les produits du terroir à moindre coût. Il y a également à l’opposé le restaurant gastronomique, relativement cher, où sont servis des plats de qualité dans un cadre exceptionnellement agréable moyennant d’un coût significatif. Entre ces deux extrêmes, les voyageurs peuvent choisir entre « brasserie et bistro », « Pizzeria », « Relais routier » ou « Restoroute », « restaurant rapide » et « Wagon –restaurant ». Tout dépend du choix et du budget.

Le restaurant accessible par tout le monde

L’essentiel est de remplir le petit creux après avoir effectué des efforts durant le déplacement. A ce point, le restaurant rapide n’est pas une mauvaise idée, en attendant le restaurant gastronomique. Dans un restaurant rapide, le voyageur peut goûter les frites ou les hamburgers, et pour assouvir la soif, il y existe des boissons et des glaces. Le voyageur fait sa commande et retire son plat puis prend place pour se régler. A noter que la facture n’est jamais exorbitante dans un restaurant rapide.

Evolution des services fournis dans les restaurants

A titre informatif, le premier restaurant officiellement reconnu était ouvert à Boston (USA) vers 1794. Au début, ceux qui venaient au restaurant s’appelaient les invités ou les convives. Alors que dans le temps les plats étaient posés à table, les invités présents au restaurant se servent eux-mêmes ou self-service, rendant ainsi compliqué le calcul du montant dû à la fin de la restauration. Quelques années plus tard, le service a changé. Le repas dans le restaurant est dressé sur assiette individuelle par convive. C’était en 1810 que ce genre de service a été introduit en France par un prince russe et fut démocratisé par la suite. Ce « service à la russe » qui a remplacé le « service à la française » est maintenu aujourd’hui, dans la plupart des cas.

Ce que les voyageurs et les vacanciers attendent des restaurants

Avant d’intégrer un restaurant, il faut correctement se renseigner sur le prix et les services car le montant des repas servis diffère d’un restaurant à un autre, et c’est valable pour les boissons. Dans un hôtel ou dans un aéroport durant leur voyages, les voyageurs et les vacanciers s’attendent à un service raffiné du chef cuisinier car depuis leur réservation, ils prennent connaissance de la réputation culinaire de leur destination, sinon la réputation en terme de service complet pour passer de très bon séjour. Si le restaurant de la destination n’est pas satisfaisant ou ne répond pas aux attentes, c’est mieux de changer de programme.